J’ai voulu retranscrire à travers l’image de la femme un univers à la fois surréaliste et envoûtant. Dans son regard absent et son iris perçant, on y voit le vice du serpent. Comme un poison limpide, on se laisse envahir par ce filtre qui contamine nos sens et notre appareil psychique. La beauté de la femme y cache un poison mortelle, sa beauté est sa principale vengeance…